J'arrive en Argentine avec quelques clichés en tête : football, tango et viande. Mes premiers pas dans Buenos Aires vont me prouver qu'un voyage en Argentine ne se limite pas à ces 3 mots.
Pourtant, c'est vrai qu'ici le football est une religion et que Diego Maradona est une légende vivante. A ce titre, j'ai vite appris qu'il fallait occulter son nom et l'appeler "El Diego". C'est vrai aussi qu'une partie de Buenos Aires vit au rythme des milongas où on peut regarder ou apprendre à danser le tango argentin. Une danse sensuelle et complexe. C'est toujours vrai, qu'on peut se régaler d'un pavé de rumsteack qui fait les trois-quarts de l'assiette sans débourser plus de 5 euros. Mais ce n'est pas pour ces clichés-là qu'on aime Buenos Aires mais pour son ambiance festive, vivante et épicurienne. Pour ses habitants souriants et accueillants. Je n'ai pas trop l'âme citadine mais j'aime Buenos Aires.
Une après-midi, je me rends au stade de la Bombonera pour partager la passion dévorante des supporters de Boca Juniors. Une atmosphère électrique où les gradins tremblent et les chants résonnent.

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J'erre dans les quartiers de San Telmo et de Micro Centro où se mêlent architecture européenne et gens pressés. Je m'évade un peu plus loin pour une marche colorée dans la ruelle emblématique "El caminito" du quartier de la Boca. Un concentré de culture argentine.

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En attendant de partir pour les chutes d'Iguazu au nord-est du pays, je m'en vais savourer un bon steak au poivre. Un plein de protéines nécessaire pour vivre intensément un voyage en bus de 20 heures.