paroles du bout du monde

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Keyword - souvenirs coloniaux -

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samedi 11 octobre 2008

la poubelle sous-marine de Million Dollar Point

A la signature de l'armistice proclamant la fin de la seconde guerre mondiale, les américains furent impatients de rentrer au pays. Le monde étant désormais en paix, ils se retrouvaient avec une série d'équipements militaires inutiles voire gênant. Au milieu d'une plage à l'est de Luganville, ils construisirent un pont puis amenèrent camions, grues, jeeps et les jetèrent par-dessus bord. Avant de quitter définitivement les lieux ils firent exploser ce pont laissant derrière eux un dépotoir sous-marin, le « Million Dollar Point ». Et de nos jours, on peut plonger sur cet amas de ferraille couvert de concrétions. Pour le coup, une plongée bizarre, loin des sentiers battus.

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samedi 8 décembre 2007

Les ruines de San Ignacio Mini

Les ruines des missions jésuites de San Ignacio Mini classées au patrimoine mondial de l'UNESCO se trouvent malheureusement trop près des chutes Iguazu pour pouvoir être appréciées à leur juste valeur. La vue des chutes, la veille, a été une telle décharge d'émotions, qu'il vaut mieux prévoir quelques jours pour récupérer et avoir la capacité de s'émerveiller à nouveau. Dans ce contexte, les ruines de San Ignacio ne me laisseront pas un grand souvenir même si les amateurs de vestiges d'architecture coloniale passeront une agréable visite dans ce site peu prisé par les touristes.

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mardi 4 décembre 2007

Dans la douce capitale argentine

J'arrive en Argentine avec quelques clichés en tête : football, tango et viande. Mes premiers pas dans Buenos Aires vont me prouver qu'un voyage en Argentine ne se limite pas à ces 3 mots.
Pourtant, c'est vrai qu'ici le football est une religion et que Diego Maradona est une légende vivante. A ce titre, j'ai vite appris qu'il fallait occulter son nom et l'appeler "El Diego". C'est vrai aussi qu'une partie de Buenos Aires vit au rythme des milongas où on peut regarder ou apprendre à danser le tango argentin. Une danse sensuelle et complexe. C'est toujours vrai, qu'on peut se régaler d'un pavé de rumsteack qui fait les trois-quarts de l'assiette sans débourser plus de 5 euros. Mais ce n'est pas pour ces clichés-là qu'on aime Buenos Aires mais pour son ambiance festive, vivante et épicurienne. Pour ses habitants souriants et accueillants. Je n'ai pas trop l'âme citadine mais j'aime Buenos Aires.
Une après-midi, je me rends au stade de la Bombonera pour partager la passion dévorante des supporters de Boca Juniors. Une atmosphère électrique où les gradins tremblent et les chants résonnent.

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J'erre dans les quartiers de San Telmo et de Micro Centro où se mêlent architecture européenne et gens pressés. Je m'évade un peu plus loin pour une marche colorée dans la ruelle emblématique "El caminito" du quartier de la Boca. Un concentré de culture argentine.

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En attendant de partir pour les chutes d'Iguazu au nord-est du pays, je m'en vais savourer un bon steak au poivre. Un plein de protéines nécessaire pour vivre intensément un voyage en bus de 20 heures.

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